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Programmation cinéma & vidéo |
20-11 / 21-11 / 22-11 / 23-11 / 25-11 / 26-11 / 27-11 / 28-11 / 29-11
La 8e édition des RISC propose de découvrir une programmation de courts et longs métrages de tout genre, parcourant différents domaines scientifiques et invite des cinéastes et des chercheurs à venir rencontrer le public.
Des films documentaires de création vont croiser des fictions de court-métrage abordant des questions de sciences, mais aussi des films expérimentaux et des films d’animation faisant écho aux autres films de la programmation, et au sein desquels la science est présente, dans une perspective plus artistique qu’informative — entre images de sciences et science des images.
Pour la deuxième année, en parallèle de la sélection internationale issue d’un appel à candidatures, sera également proposée, une section compétitive avec un prix jeune public et un prix du jury (constitué par des scientifiques, des enseignants et des professionnels du cinéma).
Boris PETRIC, président du jury anthropologue, directeur de recherche au CNRS au centre Norbert Elias (Marseille) à l'EHESS.
Rachid BENDAOUD, physicien, directeur du Festival du Film Scientifique de Marrakech
Vanessa BRITO, docteur en philosophie, enseignante et co-coordinatrice de la recherche à l'École Supérieure d'Art et de Design Marseille-Méditerranée (ESADMM).
Boris NICOT, auteur-réalisateur de films documentaires et expérimentaux
Mathieu RUIZ, docteur en neurosciences, Institut des Neurosciences (Grenoble).
Momoko SETO, réalisatrice, ingénieure d'études CNRS, Centre de Recherches sur les Arts et le Langage, CNRS-EHESS (Paris)
Etats-Unis, animation-expérimental, 2012, 4’48
Film en compétition / Prix du jury
Des motifs de lumière réfractée, lancés par un liquide virtuel créé en 3D.
Belgique, documentaire, 2013, 73’
Film en compétition / Prix du jury
Film proposé en audiodescription
À quoi ressemble le monde pour ceux qui ne le voient plus ? Qu’y a-t-il dans cette nuit sans fond que l’on imagine tous ? Brigitte, Danielle, Hedwige, Bertrand & Saïd ont perdu la vue à différents stades de leurs vies. En explorant leurs univers, le film pose la question du regard et du lien que nous établissons avec nos sens, le monde et les
autres.
France, expérimental, 2014, 18’
Film en compétition / Prix du jury
Les enseignes nocturnes de Téhéran sont incrustées sur des images aériennes de Los-Angeles. Durant ce vol, des enregistrements téléphoniques nous racontent des souvenirs qui ont eu lieu à Téhéran. Ces histoires nous renvoient au passé de cette ville.
France, documentaire expérimental, 2014, 20’
Film en compétition / Prix du jury
Aventure multidisciplinaire réalisée en collaboration avec Les Pas Perdus et de nombreux habitants de la cité comme interprètes.
Trois « miragéologues » sont dépêchés sur le terrain pour étudier un phénomène stupéfiant : des habitants d’une cité à l’ouest de Marseille ont tendance à voir des mirages !
France, documentaire expérimental, 2014, 10’
Film en compétition / Prix du jury
Librement inspirée du village de propagande nord coréen, Kijong-dong.
La réalité d’une frontière face à sa mise en scène... Un village inatteignable autrement que par l’imagination.
France , documentaire, 2013, 24’
Film en compétition / Prix du jury
Suivant le vers de Baudelaire « La forme d'une ville change plus vite, hélas, que le coeur d'un mortel », se révèlent ici les transformations affectant le XIXe arrondissement parisien et la gentrification en découlant. Le réalisateur, figure comico-burlesque évoquant Tati, croise des acteurs ou spectateurs de cette situation, et déambule dans ce qu'il reste de bohème.
Une collection de films courts produite par Lieux Fictifs en co-production avec l’INA et Marseille-Provence 2013. Coordination: Clément DORIVAL ; Idée originale: Caroline CACCAVALE ; Editing : Emmanuel ROY.
Certaines images de la télévision nous ont marqué à jamais (le premier pas de l’homme sur la lune, la chute du mur de Berlin, etc.). Créer à partir de ces archives revient à se confronter à un patrimoine collectif, des souvenirs communs : notre histoire. Dans le cadre d’ateliers de cinéma, des personnes libres et détenues se sont appropriées les images d’archives de l’Institut National de l’Audiovisuel pour restituer, à travers l’écriture fictionnelle, une part de leur histoire et de leur regard. L’image-mémoire devient image-miroir. Ce projet a été développé pendant 5 ans, en prison avec des groupes de personnes détenues et à l’extérieur avec des étudiants, des adultes, des personnes âgées, en France, en Europe et autour de la Méditerranée.
Une sélection de films courts Images en mémoire, images en miroir sera proposée durant cette séance spéciale.
Elle sera précédée de la projection d’un épisode de la série Mystères d'Archives, « 1969 : En direct de la Lune ». A la façon d'une enquête, la collection "Mystères d'archives", coproduite par l’Ina et la chaîne Arte, et réalisée notamment par Serge Viallet, décrypte avec précision les images d'archives tournées pendant les grands évènements du XXe siècle.L’épisode consacré au premier pas sur la Lune fait partie des archives utilisées pour la réalisation des films courts.
> Un débat suivra, en présence de nombreux acteurs de ce projet dont Mireille MAURICE (INA), Clément DORIVAL et Emmanuel ROY (coordination, réalisation et mise en exposition) mais aussi des réalisateurs (Pascal CÉSARO, Dominique COMTAT) et des participants impliqués dans le projet.
France, documentaire, 2013, 60’
Film en compétition / Prix du jury
Dans l’intimité des taxis jaunes, alors que la ville défile autour de nous, les chauffeurs immigrés de New York racontent leurs trajectoires. Tout en dessinant les contours de l’Amérique de demain, leurs histoires interrogent la volonté de devenir ce que l’on désire : comment choisir sa vie plutôt que la subir ? Comment trouver sa voie, « my way » ? Comment conduire sa vie ? Ensemble, ils tissent une fable collective de l’Amérique et du choix.
Grande-Bretagne, expérimental, 2014, 0’23
Amor Fati (l’amour du destin).
Grande-Bretagne, animation, 2012, 6’
Les détails de portraits serrés de plus de 500 hommes et femmes sont assemblés pour créer ce portrait composite du corps humain. La surface du corps humain est révélée de façon tendre, élégante et audacieuse.
Québec, expérimental, 2014, 2’30
BPM 37093 est une étoile qui était très similaire au soleil et qui est aujourd'hui morte. Des scientifiques ont découvert qu'en mourant, l'étoile s'est presque entièrement transformée en diamant, comme le fera le soleil dans des milliards d'années. La vidéo est une représentation fantasmatique de ce phénomène scientifique.
Autriche-Allemagne, animation, 2013, 8’
Un désert de pierre en Argentine, un cactus et la découverte d’un univers étrange à l’intérieur d’une plante !
En présence de la réalisatrice
Etats-Unis, art video, 2013, 1’57
Expérience sur la création musicale à partir de données mathématiques.
France, animation, 2014, 5’33
Monde en construction dans lequel se rencontrent un flocon de neige, les formes géométriques de Kepler qui construisent l’univers, une partition musicale du Miserere gardée secrète par le Vatican, les gestes des pilotes de la Patrouille de France répétant les figures de vol, ou encore la théorie d’origine pythagoricienne de l’«harmonie des sphères ».
En présence de la réalisatrice
Film d’atelier encadré par Balthazar DANINOS
France, documentaire/fiction, 2013, 11’40
18 élèves de 4e exécutent 7 recettes révélant les liens plus ou moins cachés entre cuisine et mathématique. Ce film est le résultat d'un atelier au collège Edgar Quinet proposé par le Théâtre Massalia et conduit par le groupe n+1 de la compagnie Les ateliers du spectacle et les Grandes Tables de la Friche La Belle de Mai.
France, art video, 2014, 3’41
Dernière découverte astronomique datant du 7 juin 2014. Les étoiles filantes prennent parfois le train. Dans ce cas, elles sont beaucoup plus faciles à observer.
En présence de la réalisatrice
France, animation, 2014, 3’
« Tant de forêts arrachées à la terre et massacrées achevées rotativées (…) ».
Dans ce poème Jacques Prévert fustige la destruction des forêts pour fabriquer de la pâte à papier, papier qui sert à alerter les gens sur les dangers de la déforestation…
Canada, documentaire, 2013, 2’20
Une jeune femme danse dans une forêt dévastée. Puis un miracle intervient.
UN GOÛTER SERA OFFERT À L'ISSUE DE LA PROJECTION
En coproduction avec le Labex OCEVU, Aix-Marseille Université et le CNRS
Etats-Unis, documentaire, 2013, vostfr, 1h39
Imaginez-vous à la première séance d’Edison ou lorsque Franklin a reçu son premier choc électrique. Pour la première fois, un film est le témoin d’un événement scientifique extraordinaire.
Ce film raconte l’histoire de six scientifiques pendant le lancement du Large Hadron Collider, lançant le départ de la plus grande expérimentation scientifique de l’histoire de notre planète. Par le réalisateur Mark LEVINSON, un physicien devenu cinéaste, et Walter MURCH monteur américain (Apocalypse Now, Le Patient Anglais), Particle Fever est la célébration d’une découverte, révélant une expérience humaine autour d’une machine épique.
Suivie d’un échange avec des chercheurs Jérôme CHARLES, physicien théoricien au Centre de physique théorique (CNRS, Aix-Marseille Université, Université de Toulon), Yann COADOU et et de Fabrice HUBAUT physiciens expérimentateurs au Centre de physique des particules de Marseille (CNRS, Aix-Marseille Université)
Séance animée par Serge DENTIN, directeur artistique des RISC et de Cyrille BAUDOUIN, chargé de communication du Labex OCEVU.
Belgique, documentaire, 2013, 110'
Film en compétition / Prix du jury
1869, John McGregor, un explorateur écossais descend le Jourdain en canoë des sources du fleuve au lac de Tibériade. Été 2011, Effi et Amir, israéliens de «l'extérieur» basés à Bruxelles se coulent dans son sillage et font le même voyage. Au milieu de décors mythiques où hommes et paysages sont marqués par la politique, la religion et l'histoire, au fil des rencontres avec des vacanciers israéliens, les réalisateurs nous plongent dans un roadmovie solaire et intense.
Ils s'interrogent et interrogent ce qui fonde la perception d'un lieu et nous renvoient par là à notre propre rapport aux racines.
En présence des réalisateurs
Carte blanche au distributeur Sixpack Film
En présence de Gérald WEBER, directeur adjoint, Sixpack Film (Vienne)
Le cinéma structurel a été le point de départ pour le cinéma d’avant-garde autrichien : Peter KUBELKA a réalisé ses "films métriques" dans la fin des années 1950, en même temps, Kurt KREN a fait ses premiers films en 16 mm en utilisant des systèmes mathématiques pour ses projets d'édition et Marc ADRIAN a publié ses "textes-films" constitués uniquement de lettres alphabétiques. L’objectif principal de ces approches structurelles ou structuralistes était de dégager l'art cinématographique, de ses composantes narratives afin de le ramener à "ce qu'il a toujours été", à savoir, un appareil utilisant de la lumière et de l'obscurité à travers une machine qui montre un certain nombre d’images photographiques dans un temps donné. Une recherche formelle envisageant le cinéma comme forme pure. Cette tradition s'est perpétuée jusqu'à aujourd'hui en Autriche où les jeunes cinéastes utilisent encore des éléments structurels dans leur cinéma.
SPEKTRUM de Gustav DEUTSCH et Martin SIEWERT (Autriche, 2003, 1’)
3/60 BAÜME IM HERBST de Kurt KREN (Autriche, 1960, 16 mm, n&b, son, 5')
IM FREIEN d’Albert SACKL (Autriche, 2011, 23’)
STATE OF FLUX – WAVE#3 de Rainer GAMSJÄGER (Autriche, 2009, 4’)
I. E. [SITE 01 – ISOLE EOLIE] de Lotte SCHREIBER (Autriche, 2004, 8’)
37/78 TREE AGAIN de Kurt KREN (Autriche, 1978, 4’)
VERTIGO RUSH de Johann LURF (Autriche, 2007, 19’)
ARNULF RAINER de Peter KUBELKA (Autriche, 1958 -1960, 16mm, n&b, son, 7’)
AU PAYS DES PLANTES CARNIVORES (France, documentaire, 2014, 4'20)
GRAINS DE FOLIE (France, documentaire, 2014, 5'24)
Films réalisés dans le cadre des Ateliers Cinésciences proposés par l’association Polly Maggoo en collaboration avec le lycée Paul Cézanne, la cinéaste Pilar ARCILA et l’IUSTI (Institut Universitaire des Systèmes Thermiques Industriels, Polytech/CNRS, Marseille).
Etats-Unis, animation, VOSTFR, 1964, 53’
Inspiré du livre de l'astronome Harlox SHAPLEY, Of stars and men suit la quête d'un enfant (représentant le genre humain) pour trouver sa place dans l'univers, à travers des thèmes tels que l'espace, la matière, le sens de la vie...
Le graphisme, les couleurs et l'univers ludique et poétique font de ce film une œuvre atypique.
Lecture en direct des sous-titres par Cécile PEYROT, comédienne
Etats-Unis, documentaire-expérimental, 2014, 6’38
Film en compétition / Prix du jury
Film expérimental utilisant de vraies images scientifiques, illustrant la fonte des glaces de la Mer Arctique, due au réchauffement de l’air et des océans par nos émissions de dioxyde de carbone.
France, documentaire-expérimental, 2014, 4’
Film en compétition / Prix du jury
Nous savions que le monde ne serait plus le même. Certains rigolaient. D’autres pleuraient. La plupart restaient silencieux.
France, fiction, 2014, 13’32
Film en compétition / Prix du jury
Sur un terril où le temps humain s’est figé, seul le rythme de la nature imprime encore ses marques. S’agit-il d’une montagne tombée du ciel ?
En présence de Léonore MERCIER, designer sonore du film
France, documentaire/expérimental, 2012, 43’
Film en compétition / Prix du jury
Voyage, rêverie le long du fleuve Narmada en Inde, entre les mythes du progrès et les mythes du fleuve. Les barrages seront les temples de l’Inde moderne' proclamait Nehru à l’indépendance du pays. Bientôt, l'un des plus importants complexes de barrages conçus à ce jour sera achevé sur la Narmada. Une lutte sociale s’organise. Nous voyageons sur le fleuve jusqu’à l’océan, à la rencontre des habitants, des croyances et des imaginaires qui cohabitent et s’opposent dans cette vallée en pleine transformation.
En présence des réalisateurs
France, documentaire, 2012, 80’
Film en compétition / Prix du jury
Je vis chez moi. Un peu comme n’importe qui. J’ai besoin de manger, j’ai de l’humour, j’aime le cinéma, j’ai besoin d’aller aux toilettes, j’aime tomber amoureux... Un peu comme n’importe qui. Par ailleurs, j’ai un handicap. Alors, j’ai des auxiliaires de vie pour m’aider à vivre, m’aider à faire.
France, série documentaire, 2008, 93’
« Chacun des films de la série Les Braves d’Alain Cavalier (…) consiste en un unique plan fixe, à l’intérieur duquel un homme témoigne d’un acte de résistance qu’il a jadis commis. (…)
En choisissant cette forme minimale, sans coupe ni une seule archive, le cinéaste a voulu nous faire partager ce que ses yeux ont vu et ses oreilles entendu au moment du tournage. Seul impératif fixé à chacun de ces braves : circonscrire l’exercice de remémoration et de mise en récit, dans le temps d’enregistrement que permettait la caméra de Cavalier. » François Ekchajzer
Les Braves 1 : Raymond Lévy (36’)
Raymond Lévy, ancien prisonnier politique, embarqué dans un train de déportation en 44, parle de l'enfermement de la soif, de la faim, de la chaleur, de la terreur, à 70 dans un wagon de marchandises. Il ouvre des parenthèses, les referme, parle de matelas humains, de poux tués, de lunettes cassées, et de son évasion quelques jours à peine avant son arrivée à Dachau.
Les Braves 2 : Michel Alliot (31’)
Membre de la famille d'Alain Cavalier, Michel Alliot était à la tête d'un réseau de résistance pendant la guerre lorsqu'il a été arrêté et torturé par la Gestapo après avoir été dénoncé. A plusieurs reprises, il devra « organiser la parade », en faisant semblant de s'évanouir au moment d'être pendu par les pieds dans une baignoire d'eau glacée, en s'évadant d'un train de marchandises ou en passant avec des faux papiers devant les Allemands.
Les Braves 3 : Jean Widhoff (26’)
Jean Widhoff, jeune lieutenant pendant la guerre d'Algérie, a vu un officier de renseignement français torturer de façon insoutenable un Algérien et l'a sommé de s'arrêter, en le menaçant de le tuer, arme à la main. Relevé de ses fonctions, il a gardé « ça » pour lui, tout seul, dans son petit coin, ne comprenant pas ceux qui se sont montrés bienveillants face aux exactions pratiquées à cette période. Aujourd'hui, il reste très pessimiste quant à la nature humaine.
Etats-Unis, art vidéo/animation, 2014, 4’
Film en compétition / Prix du jury
Dans « Swallowed Whole » le paysage désolé et déroutant représente une chute dans les ténèbres après une fracture vertébrale. L’expérience de rester allongé sur le dos pendant 3 mois et demi est similaire à être piégé seul sous un lac gelé : la vie continue tandis qu’on la regarde par en dessous.
Autriche, animation, 2013, 4’
Film en compétition / Prix du jury
The point est une joyeuse excursion dans l’histoire du film d’animation, un voyage à travers une époque où les images des journaux étaient encore tramées et composées de points plutôt que de pixels. Le point tient ici le rôle principal, dans toutes ces formes et ces couleurs.
Allemagne, animation/expérimental, 2014, 5’45
Film en compétition / Prix du jury
Une séquence de found-footage retravaillée. La répétition dans l'espace et dans le temps dompte les particules libres en mouvement, évoquant un nombre d'or de l'œil de l'esprit ?
France, animation, 2013, 2’40
Film en compétition / Prix du jury
À quoi ressemble la femme lambda ? Les planches d’anatomie nous le montrent. Et à quoi ressemblent les femmes présentées dans les magazines et les publicités comme des beautés parfaites ? En tout cas pas à la femme lambda ! Il y a quelques retouches à faire…
France, documentaire animé, 2013, 15’
Film en compétition / Prix du jury
Chloé est une jeune femme qui se laisse porter joyeusement par les choses de la vie. Mais une souffrance physique viscérale la fait ployer peu à peu, perturbant sa vie quotidienne insouciante. Elle se retrouve contrainte à porter le poids de son mal insondable. D'où vient ce mal mystérieux ? Chloé parviendra t-elle à s'en défaire ?
France, animation documentaire, 2014, 11’25
Film en compétition / Prix du jury
En 2009, Rachel Uyarasuk, alors doyenne de la communauté inuit d'Igloolik, évoque les ancêtres dont elle a reçu les noms à sa naissance. Elle explique comment cette transmission a assuré leur retour dans le monde des vivants.
France, documentaire, 2008, 4’44
Film en compétition / Prix du jury
« Jardin d’enfance » est une poésie de famille, qui relie les différentes mémoires autour du malade d’Alzheimer.
Ecosse, expérimental, 2014, 17’
Film en compétition / Prix du jury
Speculum est un symbole de l’image en mouvement, un essai à la réhabilitation du présent à travers le prisme du passé. Ce travail explore d’anciennes théories de la matière dans lesquelles des émanations lumineuses provoquent des formes physiques.
Suivie de :
France, 2012, documentaire/expérimental, sons d'artifice originaux de Jean-Claude Risset, 8'
“J’aimerais toujours les étincelles pour le brasier qu’elles flanquent aux âmes...”
De 10-9 à 1020 mètre, du nanomètre à l’infini des galaxies, de l’infra-rouge à l’ultra-violet, que peut révéler un dialogue entre un photon et une étincelle ?
Lecture par Pierre-Alain HUBERT, artiste pyrotechnicien
En partenariat avec l’INA
France/Pologne, animation expérimentale, musique de Luc Ferrari, 1982, 52’
Le film raconte la fable de Chronopolis, immense cité perdue dans l'espace. Ses habitants ont pour seule occupation et pour seul plaisir de fabriquer du temps.
Malgré la monotonie de l'immortalité, ils vivent dans l'attente : un évènement important doit survenir lors de la rencontre d'un instant particulier et d'un être humain.
> PROJECTION SUIVIE D'UNE SOIRÉE AU BAR LA JETÉE
INFORMATIONS :
RENSEIGNEMENTS : 04 91 91 45 49
ENTRÉE LIBRE (hormis Séance Spéciale au Cinéma Le Prado)
SÉANCES SCOLAIRES (COLLÈGES, LYCÉES, CENTRES DE FORMATION) SUR RÉSERVATION UNIQUEMENT :
Virginie Fauroux : 04 91 91 45 49 / communication@pollymaggoo.org
L'accès aux salles s'effectuant sans réservation préalable, il est conseillé de se présenter à l'accueil au moins 15 minutes avant le début des séances
SUIVEZ-NOUS SUR
DÉCOUVREZ LE BLOG DÉDIÉ AU FESTIVAL RÉALISÉ PAR LES ÉTUDIANT-E-S DE L'ÉCOLE DE JOURNALISME ET DE COMMUNICATION D'AIX-MARSEILLE UNIVERSITÉ > ICI
Une manifestation organisée par l'association Polly Maggoo
Avec le soutien financier de la Région Provence-Alpes-Côte d'Azur (Direction de la culture et du patrimoine, Service Enseignement Supérieur Technologies Recherche), du Conseil général des Bouches-du-Rhône (Service arts visuels), et de la Ville de Marseille - Direction de l'Action Culturelle (DAC).
En partenariat avec la Maison de la Région, la BMVR Alcazar, le Muséum d’Histoire Naturelle de Marseille, le Musée d’Histoire Marseille, le Cinéma Les Variétés, le Cinéma Le Prado, le Labex OCEVU (Origines, Constituants et Evolution de l’Univers), Sixpack Film, l’INA, Lieux Fictifs en co-production avec l’INA et Marseille-Provence 2013, Aix-Marseille Université, le CNRS Délégation Provence et Corse, Arte Créative, l’Ecole de Journalisme et de Communication de Marseille, Watt4You!, l’Espace Culture, la RTM, l’Ambassade de France au Maroc - IFM, l’Institut Français du Maroc, l’Ambassade d’Autriche (Forum Culturel Autrichien), Le Mois du Film Documentaire, l’Espace Culture, le GMEM (Centre National de Création Musicale), La Jetée, Hôtel du Sud, Le Grain de sable.
L’association Polly Maggoo est membre du Réseau Culture Science PACA